L’étude de l’Office fédéral des migrations (ODM) sur les sans-papiers doit servir de base pour reconsidérer la politique fédérale sur ce sujet. Une régularisation partielle, en particulier dans le secteur de l’économie domestique, aurait l’avantage de limiter l’exploitation dont sont victimes de nombreuses femmes ; mais cela serait aussi bénéfique pour le fisc et les assurances sociales.