La votation populaire du 8 février 2008 portant sur la poursuite avec l’UE de la libre circulation des personnes arrive à un moment où les perspectives économiques sont mauvaises. Pour cette raison, un oui à la libre circulation des personnes est d’autant plus important pour les travailleuses et travailleurs : seul ce oui va permettre de contrôler et protéger en pleine récession les salaires et les conditions de travail. En outre, les accords bilatéraux renforcent la probabilité de voir la crise et le chômage se résorber plus rapidement.