Ce n’est pas en durcissant toujours plus la politique des étrangers par crainte de l’UDC que l’on contribuera à résoudre le malaise et les peurs de la population vis-à-vis de l’immigration et de l’altérité. Une clé du problème réside dans un changement de paradigme en transformant la politique d’intégration des étrangers en une politique de cohésion sociale pour l’ensemble de la population.