Année après année, les comptes de la Confédération sont bien meilleurs que projetés. Il en résulte une volonté d’économiser au-delà du nécessaire, préjudiciable pour la prospérité à long terme de la Suisse. Il faut changer cet état d’esprit et investir davantage dans les tâches clés pour le futur : les infrastructures de service public, la recherche et formation et une politique industrielle et technologique plus forte.