En décembre, le Parlement a décidé de diminuer le taux de conversion de la prévoyance professionnelle, donc les nouvelles rentes, à partir de 2011. Après la réduction du taux d’intérêt minimal, intervenue en 2003, et une première diminution du taux de conversion, en cours, c’est la troisième dégradation des prestations de la prévoyance professionnelle en quelques années. La raison invoquée ne change pas: assurer la prévoyance vieillesse. Des prestations trop élevées menaceraient la stabilité financière de la prévoyance professionnelle et, partant, la sûreté des rentes.