Il faut pouvoir maintenir, aussi après la fin de l’activité professionnelle, le niveau de vie habituel. Ce sont le 1er et 2ème pilier de la prévoyance vieillesse et les prestations complémentaires qui l’assurent. Mais l’espérance de vie en hausse et l’arrivée à la retraite de la génération des baby-boomers font augmenter les dépenses. Les bas taux d’intérêts déchargent le ménage fédéral et créent ainsi les moyens correspondants. Un financement supplémentaire de l’AVS limite bien moins la qualité de vie de la population que des réductions de rente et des augmentations de l’âge de la retraite.