Le trimestre prochain, le Parlement décidera de la prolongation de l’Accord sur la libre circulation des personnes et de son extension à la Roumanie et à la Bulgarie. Pour Travail.Suisse, l’association faîtière des travailleurs et travailleuses, la situation est claire : il ne peut y avoir de décision de politique étrangère si, en politique nationale, on ne comble pas les lacunes constatées au chapitre des mesures d’accompagnement et qu’on n’améliore pas leur mise en œuvre.