Le 27 novembre 2005, nous voterons pour maintenir un dimanche aussi libre que possible et, partant, pour que le niveau actuel de la qualité de la vie soit conservé. Les partisans de l’extension du travail du dimanche jouent un refrain connu. Ils sèment la peur, en prétendant que le Non entraînera des pertes d’emplois et que les consommatrices et les consommateurs ne pourront plus faire leurs achats le dimanche dans les gares. Ces arguments sont faux, quand bien même un conseiller fédéral et le directeur des CFF les soutiennent.