Grâce aux 200 millions de francs issus du produit de la taxe sur le CO2, la rénovation énergétique des bâtiments prend un envol décisif l’an prochain. C’est tout au bénéfice de l’emploi – sur un marché du travail déprimé – et du climat.
Grâce aux 200 millions de francs issus du produit de la taxe sur le CO2, la rénovation énergétique des bâtiments prend un envol décisif l’an prochain. C’est tout au bénéfice de l’emploi – sur un marché du travail déprimé – et du climat.